Tous les sites Web de Thomson Reuters utilisent des témoins afin d’améliorer votre expérience en ligne. Ils ont été placés sur votre ordinateur lorsque vous avez lancé ce site. Vous pouvez modifier les paramètres des témoins via votre navigateur.
En collaboration avec
Par Me Bryan-Éric Lane, LANE, avocats et conseillers d’affaires inc.Est-ce qu’un vendeur qui a vendu un immeuble en 1985, qui a fait faillite en 1987, et qui fut ensuite libéré de sa faillite en 1988 est responsable des vices cachés découverts à l’immeuble pour la première fois en 1998 ?Plus >
Par Me Bryan-Éric Lane, LANE, avocats et conseillers d’affaires inc.Dans le cadre d’une demande en résolution de vente, le tribunal n’a pas à prendre en compte l’effet de la dépréciation au niveau de l’évaluation des coûts des travaux correctifs requis pour corriger le vicePlus >
Par Me Bryan-Éric Lane, LANE, avocats et conseillers d’affaires inc.Même en l’absence d’une preuve d’expert, le tribunal peut appliquer une dépréciation pour réduire les montants réclamés pour des travaux correctifsPlus >
Par Me Bryan-Éric Lane, LANE, avocats et conseillers d’affaires inc.Une recommandation générale d’effectuer une vérification formulée par un inspecteur préachat ne constitue pas automatiquement un indice positif de la présence d’un vice cachéPlus >
Par Me Sabrina Saint-Louis, LANE, avocats et conseillers d’affaires inc.Même les fausses représentations du vendeur ne libèrent pas l’acheteur de son obligation d’agir en acheteur prudent et diligentPlus >